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Blog

février 13, 2023

Dorian Plasse, Ballet de Stuttgart, Allemagne

Réunionnais d’origine, c’est sous le soleil que Dorian a grandi. Il débute sa formation de danseur en 2012 à l’École municipale de musique, de danse et d’art dramatique de Saint Denis.

En 2017, il remporte le 1er et le 3ème prix au Youth American Grand Prix à l’édition de Barcelone. L’année suivante, il participe à la finale à New-York.

Elève très prometteur et talentueux, il se fait remarquer par Lucas Masala et intègre en 2018 la très prestigieuse Académie Princesse Grace de Monaco, d’où il sort diplômé en 2022.

C’est en 2022 qu’il se fait découvrir grâce à sa victoire au 49ème Prix de Lausanne. Il y reçoit une bourse d’étude, ainsi que le Prix Contemporain. De nombreuses portes s’ouvrent alors pour lui, et c’est au Ballet de Stuttgart qu’il décide de débuter sa carrière professionnelle en tant qu’apprenti.

C’est dans le cadre de la collaboration entre les Hivernales et l’Exclusive Ballet Programm de Thomas Gallus que Dorian se produit cette année aux Hivernales. Nous nous réjouissons de suivre son parcours qui l’amènera, sans nul doute, jusqu’au titre d’Etoile.

novembre 18, 2022

Shale Wagman, Ballet de la Ville de Munich, Allemagne

Originaire du Canada, Shale débute sa formation en 2007 à la Vlad’s Dance Company et à la Stepanova Ballet Academy de Toronto. En 2012, il remporte le titre de meilleur danseur masculin junior de l’année aux “American Dance Awards”. En 2014, il remporte le “Youth Grand Prix Award” lors du “Youth America Grand Prix” dans la catégorie Junior et décide de quitter sa terre natale au profit de la France. Il intègre alors la prestigieuse, et très convoitée, Académie Princesse Grace de Monte-Carlo.

Sous la supervision du directeur de l’Académie, Luca Masala, il sort victorieux du Prix de Lausanne en 2018. Grace à sa médaille d’or et son Prix de la Fondation Rudolf Noureev, le monde découvre son grand talent, et Tamara Rojo lui offre son premier contrat professionnel à l’English National Ballet de Londres.

Shale intègre ensuite le Ballet de Munich, dirigé par Igor Zelensky puis Laurent Hilaire, en tant que Premier Soliste. Malgré son jeune âge, l’artiste a déjà interprété de nombreux rôles dans les grands ballets du répertoire classique, tout en s’adonnant à quelques projets chorégraphiques personnels.

novembre 18, 2022

Chloé Albaret, Freelance, Pays-Bas

Originaire de France, Chloé Albaret débute la danse en 2007 au Centre de formation artistique « Mondap’art » de Nîmes. L’année suivante, elle poursuit sa formation au Ballet Junior de Genève, en Suisse. En 2010, elle intègre le « Nederlands Dans Theater 2 », avant de rejoindre la compagnie principale le « NDT1 » sous la direction artistique de Paul Lightfoot en 2013. A présent, Chloé a décidé de reprendre sa liberté pour danser en tant qu’artiste freelance et travaille avec divers chorégraphes sur de nouvelles créations contemporaines.

Au cours de sa carrière, Chloé a eu le chance de collaborer avec de nombreux chorégraphes tels que Paul Lightfoot et Sol León, Jiří Kylián, Ohad Naharin, Mats Ek, William Forsythe, Marco Goecke, Franck Chartier et Gabriela Carrizo (Peeping Tom), Crystal Pite, Hofesh Shechter et Sharon Eyal. 

En 2019, Chloé a été nominée pour le prestigieux Prix « Zwaan » aux Pays-Bas, dans la catégorie « performance la plus impressionnante ». L’année suivante, elle remporte ce même Prix, dans la même catégorie.

novembre 18, 2022

Samuel Young-Wright, Soliste Freelance

Né à Canberra, en Australie, Sam suit sa formation à la Western Australian Academy of Performing Arts (WAPPA) et à la Sydney Dance Company, avant de rejoindre la Sydney Dance Company (SDC) en 2015.

Durant son passage à la SDC, l’artiste interprète notamment des œuvres de William Forsythe, Rafael Bonachela, Alexander Ekman, Cheng Tsung-Lung, Jacopo Godani, Andonis Foniadakis, Gideon Obarzanek ou Gabrielle Nankivell.

En janvier 2018, il rejoint la Dresden Frankfurt Dance Company (DFDC) sous la direction de Jacopo Godani, interprétant les œuvres de Jacopo Godani, William Forsythe et Marco Goecke.

En 2019, Sam fait ses débuts en tant que chorégraphe avec « Carnegie Solo », un solo créé pour la danseuse Anne Jung, acclamé par la critique. En collaboration avec quatre autres artistes de la DFDC, Sam a également créé une “installation-performance in situ“ appelée “Traces“, présentée dans le cadre de la saison 2021 du Mousonturm Sommerbau et du festival F°LAB de Francfort en 2022.

novembre 18, 2022

Anne Jung, Soliste Freelance

Allemande d’origine, Anne se dirige d’abord vers une formation intensive en gymnastique rythmique. C’est à l’âge de 14 ans qu’elle pousse la porte des cours de danse classique, tout en participant aux Jeux Olympiques d’Atlanta et à bon nombre de compétitions internationales en tant que gymnaste. Il est alors temps de choisir, et c’est vers la danse qu’Anne s’orientera, poursuivant sa formation de danseuse à la Hochschule für Musik und Tanz de Cologne, d’où elle sort diplômée, en danse classique et contemporaine, en 2008.

Elle s’octroie ensuite un an pour prendre part à différents projets artistiques, notamment au festival de Wuppertal, à Bonn, à Dortmund, à Aix ou encore à Cologne. En 2009, elle reçoit une bourse de la Kunststiftung NRW et rejoint le Ballet du Théâtre de Mainz en Allemagne, sous la direction artistique de Pascal Touzeau.

En 2014, Anne rejoint le Nederlands Dans Theater I, avant de devenir membre de la Dresden Frankfurt Dance Company en 2017, sous la direction artistique de Jacopo Godani.

Attirée par la chorégraphie, elle crée « #onewithtwo » pour NDT Switch en 2016, suivi de « #twowiththree » et « #threewithfour » pour la Dresden Frankfurt Dance Company.

Lauréate du Prix Dysart en 2021, un prix visant à soutenir les chorégraphes prometteurs, elle reçoit une commande pour le Louisville Ballet et crée « #fourwithsix ». Anne Jung a également été nominée pour le « Benois de la Danse » de la meilleure danseuse en 2021 pour « Carnegie Solo », de Samuel You-Wright.

novembre 18, 2022

Thomas Docquir, Ballet de l’Opéra de Paris, France

C’est à l’âge de 8 ans que le petit belge débute la danse à l’Académie de danse de Dinant, sous la houlette de Michèle Deconninck. Il intègre la prestigieuse École de Danse de l’Opéra national de Paris à l’âge de 12 ans, y poursuit toutes ses classes, et rejoint le corps de ballet du Ballet de l’Opéra de Paris à l’âge de 17 ans.

Promu Coryphée en 2017 et Sujet en 2020, Thomas danse dans les grands ballets du répertoire classique tout en prenant part à la création de pièces contemporaines, travaillant notamment avec Crystal Pite et Hiroshi Sugimoto.

En février 2019, il danse pour la première fois en tant que soliste le rôle de Rothbart dans le Lac des Cygnes de Noureev à l’Opéra Bastille – rôle qu’il reprend en juillet 2019 au grand théâtre de Shanghai lors de la tournée en Asie du Ballet de l’Opéra.

S’étant particulièrement fait remarquer au cours de la saison 2019/2020, Thomas reçoit le Prix AROP en 2021, un prix souvent de très bon augure pour la suite de la carrière des lauréats.

En juillet 2022, Thomas est invité au « Ballet gala of Etoiles in Paris » à Séoul, où il danse aux côtés de l’Etoile Valentine Colosante et de la Première Danseuse Héloise Bourdon.

décembre 2, 2021

Toon Lobach, Freelance, Pays-Bas

Originaire des Pays-Bas, Toon commence la danse à « 5 O’Clock Class », académie dirigée par Jocelyn Bergland. En 2015, il participe au stage d’été du « Nederlands Dans Theater », avant de se former à la « Dutch National Ballet Academy » dirigée par Jean-Yves Esquerre, jusqu’en 2017. Parallèlement, il est apprenti au « Nederlands Dans Theater 2 » pour une période d’un an, avant d’intégrer la compagnie dirigée par Nancy Euverinck et Fernando Hernando Magadan en 2017. Durant près de trois ans, il danse les pièces de Paul Lightfoot & Sol Leon, Johan Ingen, Hans van Manen, Marco Goecke, Alexander Ekman, Juliano Nunes, et bien d’autres.

L’année 2020 marque un tournant dans sa carrière, puisque Toon décide de reprendre sa liberté pour danser en tant que freelance, poursuivant ses rêves et ses envies. Depuis, ce brillant danseur interprète des rôles dans les pièces de célèbres chorégraphes. On citera notamment « Synergy » et « COR » de Juliano Nunes, « Selvportraet » de Paul Lightfoot et « Cacti » d’Alexander Ekman, lors de laquelle il est également directeur des répétitions.

octobre 12, 2021

Inès Mcintosh, Ballet de l’Opéra de Paris, France

Née en 2002 dans la banlieue parisienne, Inès tombe amoureuse de la danse en visionnant un documentaire sur l’école de Danse de l’Opéra de Paris. Elle prend alors des cours au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris durant un an avant d’être admise à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris à l’âge de 9 ans et demi. Inès y fait toutes ses classes dans la pure tradition de l’école française. Travailleuse sans relâche, elle façonne son corps petit à petit, pour gommer ce qu’elle appelle ses imperfections. Elle a la chance d’aborder ses premiers rôles de soliste dans “Raymonda“ et “Spring and Fall“ de John Neumeier, ainsi que le 1er rôle dans “Les deux Pigeons“ d’Albert Aveline.

En 2019, à la fin de sa scolarité, elle intègre le Corps de Ballet du Ballet de l’Opéra de Paris, alors qu’elle n’a que 16 ans. Elle y sera promue Coryphée en avril 2021, à l’issue de son premier Concours (reporté suite aux grèves) et Sujet dans la foulée du second Concours, 6 mois plus tard à peine. Ces promotions lui donnent de la confiance et surtout, l’opportunité de travailler certains rôles de soliste. Elle a notamment la chance de danser le pas de deux de “Flamme de Paris“, qui demande une technicité hors pair.

En décembre 2021, Inès est invitée à se produire au Gala des Hivernales de la Danse dans le cadre d’une étroite collaboration avec l’ “Exclusive International Ballet Program“, stage international dirigé par Thomas Gallus et Robert Tewsley. Chaque année, un élève exceptionnel est récompensé par une invitation à se produire au Gala des Hivernales de la Danse. Inès est la lauréate de la première édition du stage.

décembre 1, 2017

Ludmila Pagliero, Ballet de l’Opéra de Paris, France

Originaire de Buenos Aires en Argentine, Ludmila débute son apprentissage intensif de la danse à l’Instituto Superior de Arte del Teatro Colon. Elle a la chance de travailler avec des professeurs de renoms tels que Rina Valverde, Mario Gallizzi, Andrea Bengochea, Héctor Barriles, Mirta Furioso et Olga Ferri. Fin 1999, elle décide qu’il est temps de se lancer un nouveau challenge et rejoint le Ballet National de Santiago du Chili à l’âge de 15 ans et demi seulement, pour y être promue soliste deux ans plus tard, se voyant offrir les premiers rôles des productions de la compagnie.

Lauréate du Prix ”Igor Youskevitch” en 2003, elle est médaillée d’argent au 7ème Concours International de Danse de New-York et se voit offrir un contrat d’un an à l’American Ballet Theater. La même année, elle décide de se lancer un défi de plus, mais en France cette fois, en devenant la première danseuse Argentine à entrer au Ballet de l’Opéra de Paris. Elle accède au grade de Coryphée en 2006, et Sujet l’année suivante. A l’issue du Concours annuel, Ludmila est promue Première Danseuse le 18 novembre 2009. La même année, elle reçoit le ”Premio Konex” par la fondation Argentine Konex.

C’est le 22 mars 2012, lors d’une représentation de ”La Bayadère”, retransmise en directe dans les cinémas d’Europe, où elle danse le rôle de Gamzatti, que Ludmila est promue Etoile du Ballet de l’Opéra de Paris.

En tant qu’Etoile, elle a dansé les premiers rôles du grand répertoire classique tout en ayant l’opportunité de diversifier son répertoire avec des chorégraphes tels que Mats Ek, Anna Teresa de Keersmaeker, Emmanuel Gat pour, Benjamin Millepied, Sasha Waltz, Pina Baush, Crystal Pite, William Forsythe, Hans Van Manen,…

Invitée régulièrement dans d’autres compagnies et dans les plus prestigieux Galas internationaux, on a pu l’admirer dans ”Paquita” au Bolshoi, ”Giselle” à Almaty (Kazakhstan) et dans ”La Sylphide” au Mariinsky.

Ludmila a reçu le grade honorifique de Chevalier des Arts et des Lettres ainsi que le très convoité ”Benois de la Danse” de la meilleure danseuse en 2017, devant un jury très prestigieux présidé par Youri Grigorovitch.

En 2022, c’est naturellement qu’elle signe la préface du livre anniversaire des Hivernales de la Danse, « 10 ans d’Etoiles », ayant participé à la toute première édition du Gala en 2013 avec Mathieu Ganio, ainsi qu’en 2018 avec Karl Paquette. C’est avec grand plaisir que nous la retrouvons pour cette 11ème édition aux côtés du belge Thomas Docquir.

décembre 14, 2016

Iana Salenko, Ballet de la ville de Berlin, Allemagne

Née à Kiev en Ukraine, Iana découvre la danse à l’École de Ballet Pisarev, à Donetsk, d’où elle sort graduée en 2000. Elle rejoint alors le Ballet de l’Opéra de la ville en tant que soliste. Elle intègre ensuite le Ballet de l’Opéra National de Kiev, mais en tant que danseuse Etoile cette fois, ce qui lui permet de retrouver sa ville natale, chère à son cœur.

En 2005, elle s’expatrie au Ballet de la Ville de Berlin, sous la direction de Vladimir Malakhov, en tant que demi-soliste. Elle sera promue soliste l’année suivante et première soliste en 2007 (soit le grade le plus haut dans la compagnie berlinoise, ce qui équivaut au statut d’Etoile). Depuis lors, la direction a changé à plusieurs reprises, de Nacho Duato à Christiane Theobald, en passant par Sasha Waltz.

Lauréate en 2002 du 1er Prix et du “Prix Diaghilev” au Concours de Kiev; en 2004, des 1er Prix aux Concours de Vienne et de Perm, ainsi que le 3ème Prix au Concours International de Varna, en Bulgarie. En 2005, le 1er Prix au Concours International d’Helsinki, ainsi qu’au Concours International de Nagoya et en 2012, le Grand Prix Anna Pavlova au “Dance Open”, à Saint Petersburg.

En 2010, elle reçoit le “Deutscher Tanzpreis Zukunft” (Prix allemand pour le futur de la danse).

Iana est l’une des plus grandes danseuses de sa génération. Elle a néanmoins réussi à trouver le temps de donner naissance à trois enfants avec son mari, le danseur Etoile Marian Walter.